• Welcome to my blogDear friends,
    Welcome to my blog:

    Je suis Dr. Azzedine Mezbache, le “Dr. Phil of Algeria” (I hope one day).

    PSYCHOLOGUE CLINICIEN DES USA… A ALGER… (BIENTOT A AZAZGA):

    http://www.ouedkniss.com/psychologue-clinicien-des-usa-a-alger-birtouta-algerie-services-d7489507

      PSYCHOLOGUE DU TRAVAIL DES USA... A ALGER… (BIENTOT A AZAZGA)

    http://www.ouedkniss.com/psychologue-du-travail-des-usa-a-a…

    Ce blog est dédie à tous ceux qui souffrent en silence dans notre pays et surtout aux adolescents filles et garçons (14-21), jeunesse Algérienne perdue et malentendue qui lutte pour survivre dans le monde des adultes qui ne les comprennent pas. Tout support dans ce forum, bien que bref, est gratuit (conseils etc.) sauf pour quelques exceptions. Détails plus bas.

    Conçu par Dr. Azzedine Mezbache, psychologue, psychothérapeute, ex-professeur d’Université formé aux USA, les buts de ce blog sont de soutenir 1) tous les adultes qui ont besoin d’écoute et 2) en priorité tous les adolescents filles et garçons qui ont besoin de soutien moral dans leur vie quotidienne : crise d’adolescence, stress, conflit avec les parents, conflit avec instituteurs, échec scolaire, garçons et filles battues, relation dysfonctionnelle au sein de la famille, clarification des buts a atteindre dans la vie, choisir un métier, trauma, peer pressure, etc.

    C’est ma façon à moi d’aider mon pays et de remercier Boumediene pour le soutien qu’ils m’ont donné (i.e., 3 ans de bourse pour Masters en «Clinical Counseling») pendant mes 37 ans d’études, de recherche et de travail aux USA dés 1977. J’ai payé pour mon propre Doctorat en psychologie (4 ans après mon Master).

    Vous étés tous les bienvenus. Ce blog est un forum ou tout le monde participe. Jusqu’ici, Dr. Azzedine est le seul modérateur. Ce groupe n’a pas été conçu pour le "dating" (fréquentations). Vous n’étés pas ici pour rencontrer des filles et des garçons (vos parents n’aimeraient pas ça), mais pour parler de ce qui vous préoccupe et pour les adolescents, parler de vos challenges durant cette période très sensible et très dure de votre vie. C’est dommage que vos conseillers pédagogiques à l’école ne vous aident pas à résoudre ces problèmes d’adolescence.

    N.B : Il est préférable que vous utilisiez un pseudo si possible mais c’est votre choix. Si vos problèmes requiert une psychothérapie face à face vous êtes les bienvenues (thérapie payante à votre domicile) actuellement (Alger et Azazga) mais bientôt à un cabinet de groupe à Azazga. Pour plus de détails cliquez sur Tarifs de Consultations ci-dessous.

    Tout ce qui se dit sur de forum, idéalement, reste dans ce forum mais la confidentialité (si vous n’utilisez pas un pseudo) n’est pas 100% assurée (sauf par le modérateur).

    Approche, Philosophie et Méthodes de Travail

    Comme psychologue clinicien et du travail qui a été instruit et formé aux Etats-Unis, j’utilise un large éventail d'approches pour diagnostiquer et traiter mes clients qui font face a une variété de problèmes psychologiques.

    Mes pratiques extensives et mes expériences variées aux Etats-Unis ont confirmé que la meilleure façon de diagnostiquer et traiter mes clients est de combiner la science rigoureuse de la psychothérapie Américaine moderne avec les approches holistiques traditionnelles.

    Dans ma pratique de la psychothérapie j’utilise aussi très souvent les thérapies brèves cognitivo-comportementales qui donnent généralement des résultats positifs en l’espace de quelques semaines.

    Merci. I hope you'll enjoy this experience.

     


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  • PSYCHOLOGUE CLINICIEN DES USA… A ALGER… (BIENTOT A AZZAZGA) 

    odean53@yahoo.com

    En attente d’ouvrir un cabinet de groupe à azazzga bientôt, consultations offertes a votre domicile et/ou via Skype en toute discrétion. Confidentialité complète.

    Contactez Dr. Mezbache :

    +213 (0)6 62 91 38 40 (mobile)
    +213 (0)6 59 45 49 20 (mobile)

    Ne souffrez pas seul en silence. Il n'y a pas de honte à demander un soutien psychothérapeutique.

     

     

     


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  • El Watan : Quels sont vos projets futurs en Algérie ?

    «J’imagine le jour où les Algériens iront voir un psychothérapeute sans se soucier du qu’en dira-t-on ? Ils considéreraient la «talk» thérapie (thérapie par la parole) comme quelque chose de très ordinaire.»

    J'ajouterai qu'il ne faut pas avoir honte d’aller voir un psychothérapeute. Auriez-vous honte d’aller voir votre médecin parce que vous avez le diabète ? Non, alors pourquoi auriez-vous honte d’aller voir un psychothérapeute qui vous guérit avec des mots au lieu d'avec des médicaments ? 

     Ceux qui doivent avoir honte sont ceux qui ont causés vos symptômes : le père qui frappe, la mère qui abaisse, le mari qui oppresse, la famille qui tyrannise, l’institutrice qui traite l’adolescent de «fou», l’éducatrice qui frappe l’enfant retardé mental, la société oppressive qui produit l’injustice et le besoin…

    C’est quoi une maladie mentale ou un trouble de la personnalité (névrose) exactement ? Quand le stress causé par certains membres d’une famille atteint son apogée, comme la lave dun volcon, ce stress doit trouver un débouché. En jaillissant, il envahi le membre de la famille le plus sensible. Il or elle devient le membre de la famille qui a le problème « the presenting problem. » Ce « malade » en réalité n’est qu’un bouc émissaire. Il paie les frais d'une famille malade. C’est pour ça, comme les milliers autres psychothérapeutes aux USA, je traite, avec le consentement du « malade, » toute la famille quand c’est possible. Malheureusement au cabinet, uniquement a peu près 10% des familles y consentent. C’est bien dommage.

    Si vous avez une vie stressée et dure, ne l’affrontez pas seul. On a tous besoin d’aide de temps en temps. Il ne faut pas en avoir honte. Les médicaments vous stabilisent et la psychothérapie vous soulage. Sachez que la psychothérapie Américaine est la meilleure au monde. Elle est basée sur les méthodes scientifiques les plus modernes et les plus rigoureuses.

     


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  •   HELLO EVERYONE,

    BONJOUR A TOUS,

    A toute personne ayant besoin d'aide et d'écoute psychologique dans la région d'Alger. La psychothérapie Américaine est la meilleure au monde (plus de 300 approches).

    Je suis Dr. Azzedine Mezbache, psychologue clinicien et du travail formé aux USA (Doctorat et Master) actuellement à Alger. J'ai vécu 37 ans en Californie. J’offre à Alger des prises en charge pour tout patient qui a besoin de support et de traitement psychothérapeutique. Ne souffrez pas seul en silence. Il n'ya pas de honte à demander un soutien psychothérapeutique. Je suis la pour vous et les membres de votre famille. Cliquez sur ces liens ci-dessous sur ouedkniss.com pour en savoir plus. Thank you.

    PSYCHOLOGUE CLINICIEN DES USA… A ALGER :
    http://www.ouedkniss.com/psychologue-des-usa-a-alger-birtou…

    PSYCHOLOGUE DU TRAVAIL DES USA... A ALGER :
    http://www.ouedkniss.com/psychologue-du-travail-des-usa-a-a…

     

     


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  •    

    http://www.lexpressiondz.com/autres/contributions/222974-quel-role-pour-la-psychotherapie.html

    "DANS UNE SOCIÉTÉ ALGÉRIENNE STRESSÉE, quel rôle pour la psychothérapie? publié par L'Expression/Le Quotidien, le 16 Aout 2015.
    http://www.lexpressiondz.com/autres/contributions/222974-quel-role-pour-la-psychotherapie.html

     DANS UNE SOCIÉTÉ ALGÉRIENNE STRESSÉE

    Quel rôle pour la psychothérapie?

     vient d’être publié aujourd’hui Dimanche 16 Aout sur L'Expression. Un grand merci a tous mes patients pour un expérience très enrichissante.

    DANS UNE SOCIÉTÉ ALGÉRIENNE STRESSÉE

    Quel rôle pour la psychothérapie?

    Par Dr Azzedine MEZBACHE - Dimanche 16 Aout 2015

     

    Aux USA, la psychothérapie a été pratiquée depuis les années 1900 

     

    Aux USA, la psychothérapie a été pratiquée depuis les années 1900

    Ex-professeur, University de Redlands aux USA, ayant exercé pendant 37 ans aux Etats-Unis, Azzedine Mezbache est psychothérapeute dans un cabinet de groupe et un psychologue du travail et des organisations. Il est actuellement professeur à l'Imaa (Institut de management algéro-américain, à Hydra, Alger). Dans cette contribution, il nous explique qu'il n'y a pas de raisons rationnelles pour ne pas aller voir un psychothérapeute.  

    La première fois que j'ai dit à mon père que je voulais devenir un psychologue, sa première réaction était, «tu veux me dire que tu peux guérir les gens avec les mots?» A un jeune âge, celui de 18 ans, je ne savais même pas comment répondre à cette question. Je n'étais même pas sûr de ce que les psychologues font dans la vie à part le fait qu'ils écoutent les patients parler de leurs problèmes.

    Quarante ans plus tard, j'ai une petite notion concernant le travail d'un psychologue. En bref, la psychologie est définie comme «l'étude du comportement humain et des procès mentaux». Le quart des psychologues au monde exerce aux USA et la psychologie américaine a fait plus de progrès en 100 ans que la médecine en 500 ans. On prédit qu'un jour, au milieu du travail, il ne serait plus nécessaire d'avoir un entretien approfondi avant une embauche, des machines vous scannent le cerveau et rapportent un profil psychologique de votre personnalité détaillant vos qualités et vos défauts et prédisant si vous allez être un travailleur fiable ou pas.

    Qui est-ce qui va se marier avec une femme qui va voir un psychologue?

    Carl Rogers, le gourou de la psychothérapie américaine, disait que «self-disclosure is a sign of good mental health» (se révéler aux autres est un signe d'une bonne santé mentale). Au cabinet de groupe où je travaille, après avoir exercé pendant uniquement trois mois j'avais réalisé que, pour certains de mes clients, la honte abonde. Voir un psychologue n'est pas quelque chose qu'ils voulaient faire mais quelque chose qu'ils étaient obligés de faire. Même quand ils viennent contre leur gré, les subterfuges abondent pour dissimuler leur identité.

    Quelle est l'origine du problème?

    Il y a des patients qui refusent tout simplement de révéler leur vraie identité, d'autres qui dissimulent la ville où ils habitent, d'autres qui refusent de s'installer dans la salle d'attente, de peur d'être reconnus, d'autres qui viennent de loin au lieu de voir le psychologue localement, et d'autres qui dissimulent leur vrais symptômes pour me tester ou par honte de révéler leurs vrais symptômes.

    Tous ces subterfuges indiquent peut-être un manque de confiance dans les gens de notre profession et/ou la peur du «qu'en dira-t-on». Dans une petite ville où tout le monde se connaît, le «qu'en dira-t-on» pourrait avoir un impact énorme pour l'image d'un client. Surtout pour les jeunes filles qui souhaitent trouver un mari un jour. Leur réputation est en jeu.
    Aux USA où la psychothérapie a été pratiquée depuis les années 1900, voir un psychologue, un «shrink» (le sorcier qui réduit les têtes) pour l'Américain moyen n'est pas très différent que d'aller voir un médecin. La plupart des gens ne s'en vantent pas certes, mais si quelqu'un laisse échapper qu'il voit un psychologue régulièrement, les gens ne sont pas choqués. Parfois les gens sont intrigués et même envieux parce que la psychothérapie est très chère aux USA, l'équivalent en moyenne de 7000 DA pour une séance de 50 minutes et qui peut aller jusqu'a 50.000 DA par séance à Beverly Hills, Los Angeles, California.

    Il n'y a pas de bonnes raisons rationnelles pour ne pas aller voir un psychothérapeute. La société algérienne est très stressée. Demander de l'aide ne doit pas être quelque chose de honteux. On ne peut pas résoudre tous ses problèmes tout seul et/ou à l'aide d'un comprimé. Les comprimés -antidépressifs par exemple- diminuent les symptômes pour que le patient devienne stable, mais c'est le psychologue qui est apte à soigner et guérir le patient.

    On répète aux patients que «les problèmes que vous avez refoulés ont pris des années pour devenir des symptômes pathologiques et ne vont pas disparaître 1) en prenant des comprimés et 2) après une semaine de psychothérapie. Ces choses-là prennent beaucoup de temps.

    Qu'est-ce qui se passe pendant une séance de psychothérapie?

    Un psychologue a un double rôle: une combinaison d'un enquêteur et d'un guérisseur. Pendant la première séance on commence par demander au client «the presenting concern:» (le problème qui l'a amené chez nous) puis, prenant des notes copieuses, on commence notre enquête sur l'origine du problème. Ecouter attentivement ce que la patiente nous dit est très important. Pendant qu'on écoute on essaye de relier certains fragments pertinents de l'histoire de la patiente aux symptômes qu'elle présente. Est-ce que cette patiente a été traumatisée par un événement particulier? Quels sont les facteurs stressants dans la vie de cette patiente? Cette enquête dynamique pour trouver une corrélation entre cause et effet nous aide à décider d'une stratégie pour guérir la cliente. Quand on a enfin déterminé la cause, plus ou moins certaine des symptômes du client, alors on doit décider quelle technique ou quelle série de techniques utiliser pour alléger les maux de la patiente.

    300 types de thérapies aux USA

    Un certain type de thérapies connues comme thérapies comportementales (en Anglais «behavior therapy techniques») sont très communes et populaires aux USA. Ces techniques sont brèves -résultats positifs dans trois à six semaines- et visent à alléger le comportement négatif qu'on peut observer de l'extérieur (e.g., un enfant qui urine dans son lit ou un adulte très stressé) en même temps qu'on continue d'enquêter sur les causes profondes des symptômes.

    Plus on écoute plus on découvre ce qui a vraisemblablement causé les symptômes du patient. Notre approche pour soigner un patient conforme à cette créative analogie de Freud qui disait que, «soigner un patient c'est comme éplucher un oignon, on dépèce pétale par pétale jusqu'à aboutir au centre de l'oignon». Facile à dire, difficile à implémenter.

    «Soigner un patient c'est comme éplucher un oignon...»

    Le traitement d'un TOC (Trouble Obsessionnel Compulsif), comme le lavage compulsif des mains par exemple, peut s'étaler sur plusieurs séances. Pour le traiter, on utilise une combinaison de méthodes de visualisation et de méthodes de relaxation. Ce traitement peut prendre un mois ou plusieurs mois. Cela dépend de la complexité et de la cause du problème. Les techniques de la thérapie du comportement, utilisées depuis les années 1940 aux USA, sont généralement efficaces avec la majorité des patients qui ont des symptômes allant de l'anxiété générale et les attaques de panique en passant par les troubles obsessionnels compulsifs (TOC) jusqu'aux troubles psychosomatiques et la dépression. Pour certains symptômes on focalise moins sur les techniques objectives et brèves citées ci-dessus et plus sur les thérapies basées sur le «talk» (parler) pour résoudre les conflits interpersonnels et les problèmes au sein de la famille (ex. parent-adolescent, époux-épouse, etc.).

    Pas de place à la subjectivité

    Le cabinet où je travaille est un endroit idéal pour nos patients. Ils sont soignés corps et esprit. Les patients qui ont des besoins médicaux sont traités par un médecin et une psychiatre expérimentés et respectés de longue date dans leur communauté, et moi-même, Dr Azzedine Mezbache, psychothérapeute formé aux USA. On subvient en concert à leurs divers besoins médicaux, mentaux et psychologiques. Avec les cas complexes et/ou quand c'est nécessaire, on coopère régulièrement sur la meilleure façon de les guérir. Le plus grand gagnant dans tout ça c'est ultimement le client. C'est une tâche qu'on prend très au sérieux.

    Il y a des gens qui lisent ces mots, qui sont peut-être sceptiques, et se demandent, «comment peut-on guérir avec les mots?» On ne guérit pas avec les mots «Per Se». Ces mots-la dérivent des conclusions des résultats de recherches scientifiques et approfondies sur le comportement humain. Quand ces résultats sont publiés, ils sont traduits en techniques de soin que le praticien peut utiliser avec ses patients. C'est comme ça qu'on aboutit à ces mots qui guérissent.

    Les Américains sont tellement pragmatiques qu'une étude du comportement humain doit être 1) rigoureuse et 2) avoir des applications. Sinon a) elle ne peut être publiée et 2) ses résultats ne sont pas pris au sérieux et donc ne vont pas être appliqués en pratique par la plupart des psychologues. La subjectivité n'a pas de place dans le traitement de nos patients. Si on ne peut pas observer et quantifier un comportement, il n'existe pas. La recherche scientifique régit tout.

    C'est quoi le comportement exactement?

    C'est l'amalgame des myriades d'associations positives et/ou négatives recueillies au fil du temps d'une expérience apprenante - d'ordre social ou interpersonnel - qui sont ou bien appropriées ou bien inappropriées. Notre culture renforce toutes ces associations-là qui culminent en un bouquet de qualités consistantes et prédictibles qui deviennent notre personnalité.


    Le cerveau intervient dans tout cela comme un chef d'orchestre décidant comment répondre à toutes ces contingences -parfois complexes- de la vie. Pour la plupart des gens, leur stratégie est de garder les comportements qui aident à leur sauvegarde (les motivent etc.) et d'éviter les comportements qui gênent et interférent avec cette sauvegarde (les démotivent etc.). Tout comme les parents qui nous donnent des conseils pour nous motiver à adopter un certain comportement, la thérapie n'est autre qu'un type de conditionnement où le psychologue nous motive à associer et adopter des comportements plus sains renforcés par un système de renforcements positifs.

    La différence entre un parent et un psychologue? Un parent sain peut fournir un conditionnement sain pour un enfant, si lui-même il a reçu un conditionnement sain, mais un psychologue qui a étudié «la science du comportement humain et les procès mentaux» est plus apte à prodiguer des conseils qui sont sains, efficaces, rationnels et logiques, basés sur la science du comportement humain et, entre autres, basés sur ses nombreuses années d'expérience passées à écouter les problèmes des gens et les «guérir avec les mots».


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